après-midi gangbang avec une vraie star porno
Lors d’un après-midi gangbang dans un club libertin près de Lyon, notre libertin célibataire va faire la connaissance d’une très jolie libertine. Celle-ci s’avère être en réalité une star porno qui, manifestement, aime le sexe en dehors du boulot.
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Rencontre sexe avec une star porno
Je ne sais pas vous, mais il m’arrive d’aller regarder des vidéos sur des sites pornographiques. Je choisis en général des films de partouzes, ou tout au moins de sexe à plusieurs. Certains me rappellent mes aventures cochonnes de libertin célibataire. Mais j’ai également « mes têtes ». Il y a des actrices que j’apprécie particulièrement. J’aime le superbe corps de certaines d’entre elles, j’adore le joli minois d’autres. Mais il en est une ou deux que je trouve particulièrement bandante. Il y a cette amatrice blonde et menue qui s’adonne particulièrement au dogging libertin. Mais il y a aussi cette beauté brune aux seins parfaits, au visage angélique, au cul à se damner. Je ne vous dirai pas qui, de peur de trahir sa vie privée. Mais vous trouverez peut-être, si vous êtes fan de cette véritable star porno.

Je parle de sa vie privée, oui. Car c’est dans ce fameux club échangiste que j’ai, pour ainsi dire, fait sa connaissance. Quand elle est arrivée, tout le monde a tourné la tête. Il faut dire qu’elle était accompagnée de celui que je ne savais pas être son mari, un hardeur lui-aussi bien connu des amateurs. Mais, à vrai dire, hommes et femmes n’avaient d’yeux que pour elle. Superbe, un peu dédaigneuse, elle s’approcha du bar où j’étais en pleine discussion avec quelques habitués, vêtue d’une tenue plus que provocante. Ses seins pointaient sous le fin tissu de sa robe. Ce fut en regardant ses nibards que je fus sûr et certain qu’il s’agissait bien d’elle.
Direction les coins-câlins
Monsieur commanda deux boissons. J’indiquais immédiatement à la serveuse : « c’est pour moi ». Le couple me remercia. « C’est un plaisir d’offrir un verre à deux sommités comme vous ». Autant jouer cartes sur table. Ils apprécièrent, je crois, le compliment. En fait, j’en suis sûr, puisque quand monsieur désigna cinq hommes célibataires pour les suivre dans un coin-câlin, je fus de ceux-là. Moi, au milieu d’une brochette de jeunots tous aussi bien foutus les uns que les autres.
Ce que j’avais pris pour une certaine forme de prétention se révéla être de la timidité de la part de ma star porno. En fait, elle semblait un peu gênée de la tournure des événements. Les gars étaient en rut, littéralement, et ne s’en cachaient pas. Son compagnon comprit sa gêne. Et il me poussa dans les bras de la belle. Car oui, elle était belle, ma hardeuse, avec ses yeux de biche, ses lèvres fines et gourmandes et son corps à faire pâlir n’importe quelle vedette de Hollywood. Elle m’embrassa sur la bouche, je lui rendis son baiser. Nos deux corps se collèrent l’un à l’autre. Nos langues se mêlèrent. Elle eut l’air d’apprécier. Plus que de raison. Ses murmures évoquaient même un orgasme proche, alors que je la touchais avec un respect assez prude.
La starlette aime la tendresse
« Elle aime la tendresse, pour commencer », m’indiqua le mari. Et je dois bien dire qu’elle était aussi émouvante que bandante. J’y allais prudemment. Ce fut elle qui s’agenouilla devant moi, sortit ma queue de son écrin et la prit en bouche. Je me faisais sucer par un fantasme vivant ! Son regard changea du tout au tout. Elle prit un air un peu pervers, assez inquiétant. Elle fit signe aux minets de s’approcher. Ils la pelotaient, lui sortirent ses magnifiques seins de leur cachette et lui mirent leurs zobs sous le nez. Elle passait de l’une à l’autre, avec une envie non dissimulée. On peut s’étonner d’un tel appétit sexuel pour quelqu’un dont c’est la profession. C’est pourtant ainsi. Et je ne doute pas une seconde du fait qu’elle était parfaitement consentante, et même enthousiaste, à l’idée de venir à cet après-midi gangbang !
Après nous avoir montré ses talents pour la gorge profonde, la belle se releva. Elle embrassa son homme à pleine bouche, puis revint vers moi. D’un air aussi vicieux que presque enamouré, elle me dit : « c’est toi qui va me prendre ». Joignant le geste à la parole, elle finit de se déshabiller, dévoilant un corps absolument fantastique. Puis elle se rendit vers la couche où les couples échangistes habituellement s’adonnent à la partouze. Elle s’y installa à quatre pattes, en position de levrette. Son mari vérifiait que j’enfilais bien une capote. Enfin, je la pénétrais. Elle couina un peu, sans excès, sans ces grands emportements qui gâchent parfois les meilleurs films X. Elle dit simplement aux autres : « venez, que je vous suce ». Il ne fallait pas les prier plus longtemps.
Gangbang amateur pour star porno
Pendant que je faisais de mon mieux pour satisfaire la starlette, les jeunes gars se succédèrent dans sa bouche et les uns comme les autres jouirent assez vite. « Elle n’avale pas » prévint le mari. Les minets durent donc éjaculer n’importe où, mais pas sur elle. Et ils furent rapides. J’ai appris, quant à moi, durant de longues années de libertinage, à me retenir aussi longtemps que nécessaire, ou, au contraire, selon les désirs de la libertine, à jouir plutôt vite. Là, je continuais à limer en caressant son splendide cul. Je fus, au bout d’une heure peut-être, le dernier combattant. Enfin, pas tout à fait. Alors que le dernier des jeunots quittait le coin-câlin, le mari hardeur sortit une queue monstrueuse de sa braguette. Il la donna à sucer à sa belle tandis qu’il se déshabillait à son tour.
De manière très directive, la jeune femme me fit m’allonger sur la couche. Là, elle s’empala sur moi, se baissant juste assez pour que ses adorables seins frôlent ma bouche. Je suçotais sans doute les plus beaux tétons qu’il m’ait été donné de goûter, quand je compris enfin là où ils voulaient en venir. Il embrocha littéralement le cul de sa donzelle, de sorte que je sentais son énorme teub contre la mienne. Une double-pénétration dingue ! Moi qui suis un habitué de l’après-midi gangbang du samedi, jamais je n’avais vu libertine accomplir pareil exploit. Comme branlé par l’énorme vit du hardeur, j’avais rendu les armes quand, à leur tour, mes deux stars du X jouir dans un déluge de mots d’amour.